Ces croix, signes de reconnaissance ou de gratitude d'un individu ou d'une communauté de reconnaissance envers Dieu sont aussi des repères pour les voyageurs, ou encore des symboles d'accords privés ou d'actes de justice.
Siège de la plus importante seigneurie de Louargat avant la révolution, ayant possédé : colombiers, vivier, jeu de paume, chapelle, grande auge ronde (3,80m de diamètre, d'environ 18 tonnes, aujourd'hui visible au jardin public de Lanvollon 22).
D'ici et durant ses brefs séjours, le bailli de Suffren de St Tropez se rendait, cérémonieusement en chaise à porteurs, à la grand messe du dimanche, en l'église de Louargat.
Ce mont de 304 m, appartenant aux monts d'Arrée, était jusqu'au XIXe siécle, recouvert de landes. ''la lande supplice '' doit son nom à la fourche patibulaire à quatre pilliers que possédait la seigneurie de Guermorvan qui rendait ici justice par pendaison.
Les condammés passaient par Pors An Quen (cour des angoisses) avant l'ascension du Ménez Hoguéné.
Durant la seconde guerre mondiale, ce lieu stratégique fut miné par les allemands afin d'éviter tous parachutages et atterrisages d'avions alliés.
Cette fontaine à plusieurs bassins, située à 240 m d'altitude à l'est du Ménez Hoguéné est la source du Jaudy. Ce dernier sillonne le Trégor sur 48 Km vers le nord, avant de se jeter dans la Manche à Tréguier, où il forme une ria.
Ses principaux affluents : le Théoulas à Brélidy, le Poulloguer à Coatascorn, le Guindy à Tréguier.
Ce tertre artificiel édifié en hauteur est le témoingnage d'un système défensif, efficace contre les pillards et autres ennemis. Datant du Xe siècle, autrefois doté d'un donjon composé de terre et de bois, matériaux simples, faciles et rapides à mettre en oeuvre.
Les chateaux de pierres remplaceront peu à peu les mottes castrales à partir du XIIIe siècle.
Au cours du XIXe siècle, les villageois des alentours organisaient des courses de chevaux de trait dans cette enceinte circulaire, du'ils nommèrent Tossen Louz (butte au blaireau).
De plan rectangulaire elle fut achevée en 1510 et présente un clocher à une chambre de cloche. Des croix stylisées dans les pierres de maçonnerie rappellent son ancienne appartenance à l'ordre des hospitaliers.
Cette chapelle a possédé un oratoire dédié à St Fiacre ainsi qu'un cimetière de 9 ares aujourd'hui disparu. Son calvaire date du XVIIIe siècle et sa fontaine est aujourd'hui busée. Sa maîtresse vitre fut refaite en 2004 grâce à l'association qui s'applique à restaurer l'édifice.
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longueur : 6 Km ou 12 Kmdifficulté : facile (6 km) fort dénivelé (12 km)temps : 2h00 (6 km) 3h30 (12 km)balisage : jaune