Cette église néo-gothique reprend la symbolique du moyen-âge par son bestiaire situé au niveau du chevet (extérieur), ayant pour but de faire fuire tout esprit malin ou être démoniaque, des gardiens du bien en quelque sorte.
Une borne IGN, située à la base du porche ouest de l'égliseindique notre altitude : 189 mètres.
D'anciennes maisons sont ornées et protégées par des symboles gravés dans la pierre certains sont religieux : ''JHS'' ou ''JS'' signifiant Jesus Hominem Salvator ( Jésus sauveur des hommes) d'autres non religieux comme la fleur de lys censée conjuguer le mauvais sort ou les pierres en episde blé censées assurer de prospères récoltes.
Ces petits édifices ruraux, indispensables pour une vie aurarcique, ont cessé leur activité dans les années 1930. Ils reprennent parfois du service durant l'occupation, pour combler la pénurie et les rationnements.
Victimes de leur inactivité, nombre d'entre eux ont disparus.
Cette avenue fut voie royale, impériale et nationale12.
Ses maisons ouvragées marquent la relative prospérité des propriétaires d'origine, dont certains noms figurent sur les linteaux des portes.
Plusieurs façades conservent encore des anneaux de fer qui servaient à attacher les cheveaux jusqu'au milieu du XXe siècle, témoin de l'importante activité commerciale de cette avenue.
Cette pierre blanche composée d'un grès particulièrement dur, originaire de la forêt de Coat-an-Hay, fut élévée à but décoratif en 2005. La géologie de Louargat est essentiellement composée de granit hercynien.
Cette fontaine Saint Pierre avec enclos et échaliers comporte deux bassins. Jusqu'à la fin du XXe siècle un lavoir lui succédait rassemblant autrefois lavandières, ménagères, servantes... Lieu de rencontre important et de propagation de nouvelles, il avait un rôle social très important.
Construit courant XIXe siècle, cet édifice a abrité une école privée de filles sous l'égide des Soeurs de Broons, converti en écolepublique de filles, puis en école mixte, il fut transformé en logements sociaux début XXIe siècle.
Rues du stade et pors Marzin, certaines maisons sont agrémentées de pierres de crossettes, corniches, porte cintrées, fleurons... Ces apports ornementaux proviennent de l'ancienne chapelle Saint Michel (XVIe siècle), située en Louargat, et démolie vers 1920.